Dès son plus jeune âge, Julie se passionna pour la littérature. Roméo et Juliette, elle l’avait lu à 8 ans. Étant donné qu’elle avait lu toute la bibliothèque de ses parents à l’âge de 10 ans, elle se passionna pour l’écriture. Elle écrivit son premier roman à 15 ans. Ses parents l’inscrivirent à Cambridge où elle prit, bien évidemment, l’option littérature. Ce n’est qu’à sa deuxième année là-bas qu’elle trouva sa voie : professeur. En effet, c’est grâce à une enseignante passionnée et entêtée qu’elle prit goût à l’apprentissage. Elle se décida à faire partager sa passion, comme l’avait fait son professeur à l’université. Elle dût faire de longues années d’études, d’acharnement et de désire de réussir pour pouvoir enseigner à son tour. Quelques années après son début dans le métier de professeur de littérature, c’est en lisant un roman d’amour où les deux personnages se retrouvaient après de nombreuses années que lui vint l’idée qui donna lieu à ce rendez-vous 10 ans plus tard au pied de Big Ben. Trop heureuse de l’idée qui lui avait traversé l’esprit, elle convia tous les élèves de sa classe de littérature à une "rencontre" dix années après la fin du collège.

Passionnée par son métier, Julie est une femme comblée. Même si personne ne partage sa vie, elle est épanouie et profite de son bonheur. Sa devise : Carpe diem ! Petite, elle n’allait pas trop vers les autres, mais ne s’en faisant pas des ennemis non plus. Elle est très ouverte aux autres et très compréhensive. Elle ne se vexe jamais et pardonne facilement. Son seul défaut est peut-être d’être trop naïve : à force de lire de belles histoires où les méchants sont gentils au fond, elle ne voit pas le monde tel qu’il est, cruel et injuste.

Si Kyle s’est retrouvé dans la classe de Mlle Clarks, ce n’est pas par goût pour l’écriture. En effet, la littérature ne comptait pas dans ses passions à l’âge de 15 ans. S’il a dû suivre ces cours, c’est bien parce que ses parents l’y ont forcé. Kyle était un élève dissipé, perturbateur et rêveur. Le seul cours où il a écouté le professeur fût le dernier cours, celui où elle leur donna rendez-vous 10 ans plus tard. Bien-sûr, l’idée de se rendre à ce rendez-vous lui était bien lointaine. Au cours de ces dix dernières années, Kyle avait fait des études de management et était désormais le PDG de l’une de plus grosses entreprises du pays. La littérature n’était plus du tout son domaine. Et pourtant, quand il retrouva en fouillant dans ses affaires de collège, la lettre que Mlle Clarks avait remise à tous les élèves de sa classe, il se décida à se rendre à ce rendez-vous. Pourquoi ? Peut-être juste pour le plaisir de revoir ses anciens amis de débauche ou alors pour se rendre compte de ce qu’était devenu tous les gens qu’il avait côtoyé au cours de ces années et qu’il n’avait pas revu depuis ces si longues années.

Kyle n’a jamais été un gars sérieux. Toujours le premier a déconné dès que l’occasion se présentait, il était du genre joueur. Encore aujourd’hui, il ne se prend pas au sérieux. Autrefois fils à papa, il est aujourd’hui l’un des hommes les plus courtisé de Londres. Malgré son poste haut placé, il ne prend pas la grosse tête et sait quand s’arrêter : si une soirée entre potes dégénère, il sait quoi faire. Cependant, derrière cette carapace de jeune homme fêtard se trouve un Kyle plus sensible. Éternel romantique, il sait courtiser les femmes, mais n’a jamais fais souffrir l’une d’entre elles. Il respecte les limites.

Lili fût élevée dans la richesse et l’abondance. Petite, elle pouvait avoir tout ce qu’elle désirait : ses parents cédaient tout à leur fille unique. Dans l’adolescence, ce fut pareil : si elle piquait une petite crise, ses parents acceptaient. Cependant, comme ils voulaient que leur fille réussisse, Mr et Mme Campbell l’inscrivirent au cours de littérature de Mlle Clarks. Ceci ne plut pas des masses à notre demoiselle capricieuse, mais elle s’y plia après que ses parents lui ai annoncé l’ultimatum : le cours de littérature et elle restait à Londres, ou le pensionnat dans le Kent. Elle allait donc à ce cours, les mains dans les poches et l’esprit occupé à "penser" à ce qu’elle pourrait faire dans l’après-midi. Quand Mlle Clarks parla d’un rendez-vous dans 10 ans, cela n’avait pas traversé la tête de la blondinette de s’y rendre, pas le moins du monde. Mais c’est quand elle apprit que ses parents, qui en avaient assez de lui payer toutes ses folies et qui pensaient qu’il était temps pour elle à l’âge de 25 ans de se comporter comme une adulte, s’apprêtaient à lui couper les vivres qu’elle se rappela ce rendez-vous – qui tombait plutôt bien. Elle se dit qu’elle pourrait retrouver avec ses anciens amis. Mais ce n’est pas si facile de renouer avec le passé.

UC

Quand Martin a vu le jour dans la ville de Londres, sa vie était déjà bien difficile. Né d'un père sévère et autoritaire et d'une mère alcoolique, le jeune homme a eu du mal à s'habituer. Malheureusement, il n'avait pas le choix car, comme le dit le dicton, on peut choisir ses amis mais pas la famille. Alors, il restait recru dans sa chambre à étudier et quand il sortait enfin c'était pour allé se défouler sur le terrain. C'est peut être pour ça qu'il aime le sport. Il doit y voir comme un échappatoire. Seulement, tout le monde sait qu'on n'échappe pas à sa vie aussi facilement. En sortant du lycée, les rêves pleins la tête, sa mère décède. Cancer du foie. Là, son père décide qu'il est temps de déménager. Adieu l'espoir d'intégrer une université prestigieuse, bonjour la ville de Sydney. Au fils des années, Martin stoppera complètement le basket. Il créera sa propre société d'agent sportif et tombera amoureux. Elle s'appelle Candice et est australienne. Aujourd'hui, il n'oublie pas ce rendez vous donner il y a dix ans et compte bien y aller afin de revoir ses camarades et ainsi leur présenter celle qui fait battre son cœur depuis 2 ans.

Martin n'a jamais eu une enfance heureuse comme on dit. C'est grâce à toutes les épreuves qu'il a enduré que son mental c'est renforcé. Plus mature que les autres, il savait déjà qu'elles étaient ses priorités au lycée. Contrairement aux jeunes de son âge ce n'était pas les filles et les voitures. Non, Martin visait plus haut que tous. Ses études et son sport étaient beaucoup plus intéressants. Son rêve, devenir basketteur en NBI. Mais il n'était pas fou et savait pertinemment qu'avoir des bonnes notes en parallèle au basket lui assurerait une place à l'université. Les cours de Mme Clarks étaient ses préférés. Là bas, il se sentait aimer. En dehors du lycée Martin était plutôt renfermé sur lui même et très solitaire. Heureusement, tout ça à changer aujourd'hui !

Fille unique, Charlie n'a pas d'autre choix que de s'inventer un monde parallèle . Oui car malgré qu'elle aime ses parents, on ne peut pas dire qu'elle aime sa véritable vie. Quand on est sans amis et qu'on a une imagination débordante créer un amis imaginaire semble totalement anodin. Il s'appelle Fame car Charl' aime ce film et il ressemble au grinch mais en bleu et plus gentil. Ses parents inquiet demandent l'avis d'un psy qui confirma la normalité de la chose. En grandissant, la jeune fille se passionne pour l'art. La littérature c'était pas trop son truc. Elle aimait écrire oui mais tout le reste ne l'intéressait pas. Mme Clarks l'avait bien compris. Elle lui avait même proposer de dessiner pendant les cours à une seule condition, que les dessins soient affichés. Au début elle n'était pas trop d'accord mais finalement, Charlie avait accepté. Elle l'aimait bien cette prof. Et son idée d'enveloppe était géniale d'après l'étudiante. En retrouvant la date du rendez-vous, Charl' c'était promit d'y aller. Ainsi elle verrait l'évolution des anciens élèves de sa classe qu'elle n'a pas revu depuis longtemps.

Quand Charlie était enfant, son père lui racontait souvent des histoire le soir. Quand elle rabattait la couverture sur sa tête et qu'elle s'endormait, Charl' rêvait de ces contes et devenait l'héroïne. Sa grande imagination doit sans doute venir de là. Charlie se contente de très peu. Ses parents n'étant pas riches, elle vit avec se qu'elle a et n'a pas l'habitude de réclamé. Secrètement, elle c'est toujours promit de réussir et ainsi ne plus vivre dans la presque misère. Mais, car Charlie est une fille bien, pour ne pas blesser ses parents, elle ne dit rien et continue de rêver. Oui, la jeune femme est une éternelle rêveuse. Ses projets ne sont jamais menés jusqu'au bout car une idée vient toujours tout compromettre.